Les Livres D'Alice Miller
Je parle de la pédagogie noire et des livres d'Alice Miller dans mon prochain livre sur la colère. Pour plus de compréhension et pousser plus avant notre niveau d'entendement , voilà les 3 livres que je vous recommande. En cliquant sur les liens ci joints, vous allez pouvoir les acquérir.
C'est pour ton bien
L'opinion publique est loin d'avoir pris conscience que ce qui arrivait à l'enfant dans les premières années de sa vie se répercutait inévitablement sur l'ensemble de la société, et que la psychose, la drogue et la criminalité étaient des expressions codées des expériences de la petite enfance... La tâche d’Alice Miller est de sensibiliser cette opinion aux souffrances de la petite enfance, en s'efforçant d'atteindre chez le lecteur adulte l'enfant qu'il a été. Ce livre intelligent et chaleureux dénonce les méfaits de l'éducation traditionnelle - qui a pour but de briser la volonté de l'enfant pour en faire un être docile et obéissant -, et montre comment, fatalement, les enfants battus physiquement ou psychologiquement, battront à leur tour, les menacés menaceront, les humiliés humilieront ; comment, surtout, à l'origine de la pire violence, celle que l'on s'inflige à soi-même ou celle que l'on fait subir à autrui, on trouve toujours le « meurtre » de l'âme enfantine. Cette " pédagogie noire ", selon l'expression d’Alice Miller, est illustrée par des textes du XVIII-XIXe siècle, stupéfiants ou tragiques, reflétant les méthodes selon lesquelles ont été élevés nos parents et nos grands-parents, et par trois portraits d'enfances massacrées : celle de Christine F., droguée, prostituée, d'un jeune infanticide allemand - et d'Adolf Hitler, que l'on découvrira ici sous un jour tout à fait inattendu. Un livre à mettre d'urgence entre toutes les mains.
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Notre corps ne ment jamais
Notre corps ne ment jamais d’Alice Miller. Quand nous tombons malades, quand nous faisons l'expérience de la dépression, de la toxicomanie, de l'anorexie..., c'est que nous sommes traversés par un conflit intérieur entre ce que nous ressentons et ce que nous voudrions ressentir. D'un côté, il y a notre corps, qui garde intacte la mémoire de notre histoire, et tout particulièrement des mauvais traitements que nos parents ont pu nous infliger ; de l'autre, il y a notre esprit et notre volonté conditionnés par la morale et l'éducation traditionnelles à aimer et honorer, quoi qu'il arrive, ces mêmes parents. Ce livre nous montre, à travers de nombreux exemples - notamment les vies d'écrivains célèbres- les conséquences parfois dramatiques de ce conflit, mais aussi qu'il existe, aujourd'hui, des raisons d'espérer. Non, nous ne sommes pas obligés d'être les " bons " enfants de nos parents s'ils nous ont fait du mal et s'ils continuent de pratiquer le chantage affectif. Oui, c'est notre responsabilité que d'être attentifs aux signaux d'alerte que nous envoie notre corps. Oui, au terme de ce chemin exigeant par lequel nous acceptons de relire l'histoire de nos rapports avec nos parents, il y a l'espoir de naître à une authentique liberté intérieure.
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Le drame de l'enfant doué : A la recherche du vrai Soi
Contrairement à ce que le titre a souvent pu laisser penser, il ne s’agit pas d’un livre sur les enfants surdoués. On y trouvera par contre une recherche autour de l’interrogation : pourquoi tant d’adultes doués, qui réussissent dans la vie, souffrent-ils de se sentir étrangers à eux-mêmes, intérieurement vides ? Depuis la première parution de ce livre en 1979, les réponses d’Alice Miller à cette question ont aidé de nombreux lecteurs à trouver un accès à leur propre histoire et à découvrir que la partie précieuse de leur Soi leur était restée cachée jusqu’alors (leur « drame »). Ses lecteurs sont encouragés à chercher les raisons de leur souffrance actuelle dans leur histoire, l’histoire du petit enfant qui ne devait vivre que pour les besoins de ses parents en ignorant ou niant ses propres besoins. Au lieu de payer plus tard avec des dépressions et de nombreuses maladies corporelles pour cette automutilation, l’adulte peut s’en libérer en trouvant l’empathie pour l’enfant qu’il a été et pour sa souffrance muette. Aussitôt qu’il assume sa vérité, bloquée si longtemps dans son corps, il peut commencer à regagner, pas à pas, sa vitalité, la vie authentique qu’il n’avait pas osé vivre. La perception par l’auteur du vécu réel de l’enfant n’est plus en lien avec celle de la psychanalyse, à laquelle Alice Miller reproche de rester dans la vieille tradition qui accuse les enfants et protège les parents, autant dans la théorie que dans la pratique où les rapports des traumatismes réels sont interprétés comme fantasmes.
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